- Project Runeberg -  Sur la nature de l'électricité /
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(1872) [MARC] Author: Erik Edlund
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40 NATURE DE l/ÉLECTRICä.TÉ.
ment minime par suite de la répulsion mentionnée, mais
Vt,? i,.’ que ceEe.répufsien fut trop faible pour permettre d’ob-
server, dans les phénoménes électrodynamiques, une dif-
férence entre la théorie et 1’expérience. Quoi qu’il en soit
ä cet égard, nous obtenons, comme une conséquence né-
cessaire de 1’hypothése que nous avons faite dans la dé-
duction des phénomönesélectrodynamiques, que les termes
de la formule (14) qui sont multipliés par la constante/c,
n’exercent qu’une influenee tout ä fait insigniflante sur le
déplacement des partieules d’éther dans le circuit induit,
et que, par conséquent, leur importance pour 1’induction
est singuliérement minime.
Mais, pour que ce soit le cas, il faut évidemment que
kh ou la vitesse de l’éther dans le circuit inducteur, mul-
tipliée par la constante k, posséde une valeur numérique
trés-faible. Pour ce qui concerne la vitesse h, les expé-
riences faites å son égard n’ont pas, comme nous l’avons
vu,conduit ä un résultat concordant. Fizeau et Gounelle
trouvérent que la vitesse s’élevait dans un fil de cuivre å
180 millions, et dans un fil de fer ä 100 millions de
métres par seconde. Walker a évalué la vitesse dans
un fil de fer ä 30 millions seulement, et Gould ä moins
de 26 millions dans un fil du méme métal. Les expé-
riences faites sur un fil télégraphique de cuivre entre
Greenwich et Édimbourg donnérent une vitesse d’un peu
plus de 12 millions de métres par seconde, et l’on n’obtint
que 4 millions’1/,, sur la ligne télégraphique qui relie
Greenwich a Bruxélles. La faible vitesse sur cette derniére
ligne, qui était également de cuivre, peut s’expliquer en
partie par le fait qu’une forte longueur de ce fil était sous
l’eau. Il faut remarquer en outre, que, par suite de la
maniére dont les expériences avaient été faites, les chiffres

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