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—––-T«— ^iESa—»––––-,———m––––– -
NATUUE DE L’ÉLEGTRICITÉ. 7
sur B par tout le milieu environnant, serait égale åzéro.
L’aclion sur B de tout le milieu environnant ä l’exception
de l’espaee occupé par A, est, par conséquent, la méme
que si B était attiré par cet espace. On recoit, de la sorte,
comme expression de l’action impliquée dans le cas 2
précilé :
“T rj
ou le signe -j- désigne que cette action consiste en une
attraetion le long de la ligne de jonction.
L5action indiquée dans le cas 3, sera évidemment
— (fl.+il£ , et celle de 4, + ■
r3 r2
En retranchant la somme algébrique des deux der-
niéres expressions de la somme algébrique des deux pre-
miéres, on obticnt pour résultat:
bbt
La répulsion entre deux corps électropositifs est donc
proportionnelle au produit des deux excés, divisé par le
carré de la distance.
Nous considérerons maintenant le cas ou les deux
corps sont électronégatifs, c’est-ä-dire ou ils possédent
une quantité d’éther inférieure k celle de 1’état normal.
L’action directe entre les deux corps (cas 1) sera donc
(a—b) (a—bt)
égale å...................................
L’action prévue dans le cas 2
» 3
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